Le secteur du tourisme fait son bilan :
Création d’un million d’emplois
«Même si les plages sont mises en concession durant la période estivale leur
accès restera libre et gratuit, conformément à la loi algérienne», dira le ministre.
«Même si les plages sont mises en concession durant la période estivale leur accès restera libre et gratuit, conformément à la loi algérienne», dira le ministre. Et d’affirmer que plus d’un million d’étrangers ont visité l’Algérie en 2012, dont 600.000 touristes.
« Le taux de participation du secteur du tourisme dans la main d’œuvre nationale est de 9 %», a déclaré hier, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat Mohamed Benmeradi, lors d’une réunion annuelle d'évaluation du secteur du tourisme à l'hôtel Mazafran, à Zéralda. M. Benmeradi a expliqué que «le secteur a enregistré à la fin de l’année 2012, plus 910.000 emplois, soit près d’un million, d’où l’importance de la dynamique qui a touché le tourisme ses dernières années.»
Selon le ministre, cette nouvelle dynamique s’articule aujourd’hui, autour des projets touristiques en cours de réalisation à travers le pays, en termes notamment de qualité, de normes et de la croissance du secteur sur de nouvelles bases. Devant une assistance composée des directeurs du tourisme et de l’artisanat des wilayas, des directeurs des chambres de l’artisanat et des métiers, et les responsables des entreprises sous tutelle, il a en outre, affirmé que «le taux de participation du secteur du tourisme devrait atteindre les 5 % du produit intérieur brut à l’horizon 2020», mettant l’accent sur de nouvelles zones d’expansion touristiques et l’impératif de développement de l’économie nationale en dehors des hydrocarbures. Dans ce sens, le ministre a mis en exergue l’accentuation des efforts en vue de libérer des espaces fonciers au niveau des zones d’extensions touristiques qui avoisinent les 53.000 ha. Selon lui, il est nécessaire de les aménager afin de faire bénéficier les porteurs de projets touristiques. «J’évoque dans ce cadre que prés de 130 projets sont actuellement bloqués à cause de l’absence de plans d’aménagement de ces zones», a-t-il expliqué.
M. Benmeradi a également souligné que «le secteur a réalisé plus de 200 milliards de DA environ dans les industries d’artisanat, soit une croissance de 25 % ainsi que 170 milliards de DA dans le secteur propre de tourisme, soit un taux de croissance de 20 % environ par rapport à 2011, avec une contribution de produit intérieur brut estimé à 265 milliards de DA, soit une croissance de 2%.»
Il a estimé que «l’Algérie n’a pas encore atteint les objectifs fixés capables de répondre à la demande interne des touristes nationaux ou aux marchés internationaux en termes de produits concurrentiels et de qualité ainsi que de normes». Le ministre a dans ce sens, rappelé que «le secteur a réalisé durant les années 70, période d’or du tourisme algérien, une contribution de 8 % au produit interne brut national». Et d’ajouter : «il s’agit donc pour les responsables du secteur de se mobiliser, afin de réaliser le programme tracé en termes notamment de délais de réalisation, et d’amélioration de qualité des prestations de service ainsi que le développement de la communication au plan interne et international pour promouvoir la destination Algérie».
Répondant à une question sur la concession des plages à des opérateurs privés, M. Benmeradi a affirmé que «même si elles sont mises en concession durant la période estivale leur accès restera libre et gratuit, conformément à la loi algérienne».
Il a, toutefois, déploré les dépassements commis par le passé par certains bénéficiaires de concessions qui ne respectaient pas la réglementation et faisaient payer aux estivants l'accès aux plages publiques. Le ministre a, d'autre part, relevé que c’est plus d’un million d'étrangers se sont rendus en Algérie en 2012, dont environ 600.000 touristes.
Wassila Benhamed
« Le taux de participation du secteur du tourisme dans la main d’œuvre nationale est de 9 %», a déclaré hier, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat Mohamed Benmeradi, lors d’une réunion annuelle d'évaluation du secteur du tourisme à l'hôtel Mazafran, à Zéralda. M. Benmeradi a expliqué que «le secteur a enregistré à la fin de l’année 2012, plus 910.000 emplois, soit près d’un million, d’où l’importance de la dynamique qui a touché le tourisme ses dernières années.»
Selon le ministre, cette nouvelle dynamique s’articule aujourd’hui, autour des projets touristiques en cours de réalisation à travers le pays, en termes notamment de qualité, de normes et de la croissance du secteur sur de nouvelles bases. Devant une assistance composée des directeurs du tourisme et de l’artisanat des wilayas, des directeurs des chambres de l’artisanat et des métiers, et les responsables des entreprises sous tutelle, il a en outre, affirmé que «le taux de participation du secteur du tourisme devrait atteindre les 5 % du produit intérieur brut à l’horizon 2020», mettant l’accent sur de nouvelles zones d’expansion touristiques et l’impératif de développement de l’économie nationale en dehors des hydrocarbures. Dans ce sens, le ministre a mis en exergue l’accentuation des efforts en vue de libérer des espaces fonciers au niveau des zones d’extensions touristiques qui avoisinent les 53.000 ha. Selon lui, il est nécessaire de les aménager afin de faire bénéficier les porteurs de projets touristiques. «J’évoque dans ce cadre que prés de 130 projets sont actuellement bloqués à cause de l’absence de plans d’aménagement de ces zones», a-t-il expliqué.
M. Benmeradi a également souligné que «le secteur a réalisé plus de 200 milliards de DA environ dans les industries d’artisanat, soit une croissance de 25 % ainsi que 170 milliards de DA dans le secteur propre de tourisme, soit un taux de croissance de 20 % environ par rapport à 2011, avec une contribution de produit intérieur brut estimé à 265 milliards de DA, soit une croissance de 2%.»
Il a estimé que «l’Algérie n’a pas encore atteint les objectifs fixés capables de répondre à la demande interne des touristes nationaux ou aux marchés internationaux en termes de produits concurrentiels et de qualité ainsi que de normes». Le ministre a dans ce sens, rappelé que «le secteur a réalisé durant les années 70, période d’or du tourisme algérien, une contribution de 8 % au produit interne brut national». Et d’ajouter : «il s’agit donc pour les responsables du secteur de se mobiliser, afin de réaliser le programme tracé en termes notamment de délais de réalisation, et d’amélioration de qualité des prestations de service ainsi que le développement de la communication au plan interne et international pour promouvoir la destination Algérie».
Répondant à une question sur la concession des plages à des opérateurs privés, M. Benmeradi a affirmé que «même si elles sont mises en concession durant la période estivale leur accès restera libre et gratuit, conformément à la loi algérienne».
Il a, toutefois, déploré les dépassements commis par le passé par certains bénéficiaires de concessions qui ne respectaient pas la réglementation et faisaient payer aux estivants l'accès aux plages publiques. Le ministre a, d'autre part, relevé que c’est plus d’un million d'étrangers se sont rendus en Algérie en 2012, dont environ 600.000 touristes.
Wassila Benhamed
Le privé s’implique
Ce sont quelque 220 milliards de dinars qui ont été investis par des opérateurs privés dans le secteur du tourisme en Algérie, et cela au cours de la période allant de 2008 à 2012, a annoncé dimanche à Alger le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Mohamed Benmeradi qui a précisé que 25 % de ces investissements, proviennent d'investisseurs étrangers. «Nous tenons à saluer le secteur privé pour sa contribution dans le développement du tourisme en Algérie, en consentant notamment 220 milliards de dinarspour la réalisation de 713 projets touristiques», a-t-il indiqué dans une déclaration à la presse en marge d'une rencontre dédiée à l'évaluation du secteur. Concernant la nationalité des investisseurs étrangers qui ont contribué à hauteur de 50 milliards de dinars, le ministre a précisé qu'il s'agit notamment de firmes arabes, sans donner plus de précisions.
Encourager le tourisme gastronomique
«Le tourisme gastronomique est le deuxième mobile de déplacement du tourisme mondial après le tourisme culturel», a estimé hier à Alger, le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme et de l’artisanat chargé du tourisme, M. Mohamed-Amine Hadj Saïd, lors d’une conférence organisée en marge de la tenu de la réunion annuelle d'évaluation du secteur du tourisme à l'hôtel Mazafran, Zéralda, en présence du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Benmeradi. Hadj Saïd a estimé qu’«il est temps de mettre l’accent sur ce genre de tourisme qui est extrêmement important car il permet de faire ressortir la spécificité de chaque région de l’Algérie.» Et d’ajouter : «on a toutes les capacités de proposer des circuits touristiques qui incluraient la culture et la gastronomie. On est en train de faire toute une stratégie et un travail de collaboration entre les voyagistes, les restaurateurs et les hôteliers». Selon le secrétaire d’Etat, il s’agit d’un travail de coordination qui va faire en sorte que le voyagiste quand il réserve un séjour dans une agence, il peut exiger à ce que la restauration soit celle du terroir. «Nous avons déjà commencé à sensibiliser les opérateurs», a-t-il expliqué.
W. B.
Ce sont quelque 220 milliards de dinars qui ont été investis par des opérateurs privés dans le secteur du tourisme en Algérie, et cela au cours de la période allant de 2008 à 2012, a annoncé dimanche à Alger le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Mohamed Benmeradi qui a précisé que 25 % de ces investissements, proviennent d'investisseurs étrangers. «Nous tenons à saluer le secteur privé pour sa contribution dans le développement du tourisme en Algérie, en consentant notamment 220 milliards de dinarspour la réalisation de 713 projets touristiques», a-t-il indiqué dans une déclaration à la presse en marge d'une rencontre dédiée à l'évaluation du secteur. Concernant la nationalité des investisseurs étrangers qui ont contribué à hauteur de 50 milliards de dinars, le ministre a précisé qu'il s'agit notamment de firmes arabes, sans donner plus de précisions.
Encourager le tourisme gastronomique
«Le tourisme gastronomique est le deuxième mobile de déplacement du tourisme mondial après le tourisme culturel», a estimé hier à Alger, le secrétaire d’Etat auprès du ministre du Tourisme et de l’artisanat chargé du tourisme, M. Mohamed-Amine Hadj Saïd, lors d’une conférence organisée en marge de la tenu de la réunion annuelle d'évaluation du secteur du tourisme à l'hôtel Mazafran, Zéralda, en présence du ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Benmeradi. Hadj Saïd a estimé qu’«il est temps de mettre l’accent sur ce genre de tourisme qui est extrêmement important car il permet de faire ressortir la spécificité de chaque région de l’Algérie.» Et d’ajouter : «on a toutes les capacités de proposer des circuits touristiques qui incluraient la culture et la gastronomie. On est en train de faire toute une stratégie et un travail de collaboration entre les voyagistes, les restaurateurs et les hôteliers». Selon le secrétaire d’Etat, il s’agit d’un travail de coordination qui va faire en sorte que le voyagiste quand il réserve un séjour dans une agence, il peut exiger à ce que la restauration soit celle du terroir. «Nous avons déjà commencé à sensibiliser les opérateurs», a-t-il expliqué.
W. B.
M. Benmeradi l’a affirmé :
« L’écotourisme et le tourisme de montagne au cœur de la nouvelle stratégie »
« L’écotourisme et le tourisme de montagne au cœur de la nouvelle stratégie »
Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, M. Mohamed Benmeradi, a déclaré samedi à Bejaia, que l’écotourisme et le tourisme de montagne «sont au cœur, désormais, de la nouvelle stratégie visant la dynamisation du secteur», relevant que le pays en la matière «accuse un énorme retard». «Nous accusons un énorme retard. Nous travaillons pour le rattraper», a-t-il affirmé, indiquant que le pays possède de fortes potentialités qu’il y a lieu d’exploiter et de mettre en valeur.
L’exemple le plus éloquent à ce titre étant Bejaia, a-t-il dit, notamment la région de Toudja, qui, en plus de ses dotations naturelles, dispose d’un patrimoine archéologique, social et culturel dont la conjonction est à même d’en faire une destination touristique de choix. L’idée à l’évidence est de varier l’offre touristique mais aussi, de contribuer, dans un même élan, autant à la protection de l’environnement que la revitalisation de l’arrière-pays. En fait pour Toudja, le projet qui suscite l’assentiment général, consiste à remettre au goût du jour, «la route de l’eau», existante pendant l’époque romaine, l’an 145 de l’ère chrétienne, et qui a été utilisé pour acheminer grâce à un monumental aqueduc, des viaducs et des équipements hors normes, de l’eau de Toudja jusqu'à Bejaia sur une distance de 55 km. La prouesse technique utilisée, constitue encore une curiosité de haute teneur, autant d’ailleurs, que toutes les structures inventées pour ce faire. Leur exploitation est de nature à offrir un produit extrêmement original, pour peu que les infrastructures d’accueil suivent. Il est question, en effet, d’injecter sur le parcours, redessiné en forme de boucle de quelque 70 km, des éco gîtes, des espèces de relais verts, et l’aménagement de quelques espaces de repos et de détente. Un investissement pas trop lourd mais susceptible d’attirer des milliers de visiteurs, appelés à se familiariser avec la domestication ancestrale de la ressource hydrique, le savoir-faire local et les monuments qui lui sont dédiés dont le musée de l’eau s’y trouvant, la source principale de l’eau jaillissant au milieu de la montagne (El Anceur), quelques petites cascades, une retenue collinaire et une foule d’équipements d’accompagnement dont les tunnels à eau, les moulins à eau et les citernes d’époque. Le ministre, qui a pris connaissance du projet sur place, a exhorté le mouvement associatif inspirateur à le concrétiser en les assurant de l’appui total du ministère, visiblement gagné à l’idée de faire du thème de l’eau, un thème d’accroche touristique. «Le tourisme, ce n’est pas seulement la bande balnéaire, mais c’est aussi tout l’arrière-pays et ses montagnes qui recèlent un énorme potentiel», a affirmé M. Benmeradi en guise d’encouragement, affirmant que ce projet qui peut faire des émules, intervient en droite ligne de l’esprit recherché pour le développement du tourisme. A cet égard, le ministre a indiqué qu’un projet de même nature visant le développement des zones rurales, est entrevu en association avec le ministère de l’Agriculture et du développement rural, pour le développement de l’éco-tourisme, avec comme articulation majeure l’encouragement à la création de fermes équestres, par le biais des programmes de développement rural intégrés. Là aussi, l’exemple vient de Bejaia où un haras local, bien que réduit, donne le ton en développant des randonnées et des sorties éducatives, toutes articulées autour du cheval. Profitant de cette visite à Bejaia, le ministre en a profité pour inaugurer un nouvel hôtel de haut standing, construit au centre-ville, et passer en revue des structures en rapport avec l’artisanat. L’occasion a été également saisie pour examiner, avec les autorités locales, les modalités de mise en œuvre de quelques zones d’extension touristiques, notamment celles d’Aokas et Souk-el-Tenine.
L’exemple le plus éloquent à ce titre étant Bejaia, a-t-il dit, notamment la région de Toudja, qui, en plus de ses dotations naturelles, dispose d’un patrimoine archéologique, social et culturel dont la conjonction est à même d’en faire une destination touristique de choix. L’idée à l’évidence est de varier l’offre touristique mais aussi, de contribuer, dans un même élan, autant à la protection de l’environnement que la revitalisation de l’arrière-pays. En fait pour Toudja, le projet qui suscite l’assentiment général, consiste à remettre au goût du jour, «la route de l’eau», existante pendant l’époque romaine, l’an 145 de l’ère chrétienne, et qui a été utilisé pour acheminer grâce à un monumental aqueduc, des viaducs et des équipements hors normes, de l’eau de Toudja jusqu'à Bejaia sur une distance de 55 km. La prouesse technique utilisée, constitue encore une curiosité de haute teneur, autant d’ailleurs, que toutes les structures inventées pour ce faire. Leur exploitation est de nature à offrir un produit extrêmement original, pour peu que les infrastructures d’accueil suivent. Il est question, en effet, d’injecter sur le parcours, redessiné en forme de boucle de quelque 70 km, des éco gîtes, des espèces de relais verts, et l’aménagement de quelques espaces de repos et de détente. Un investissement pas trop lourd mais susceptible d’attirer des milliers de visiteurs, appelés à se familiariser avec la domestication ancestrale de la ressource hydrique, le savoir-faire local et les monuments qui lui sont dédiés dont le musée de l’eau s’y trouvant, la source principale de l’eau jaillissant au milieu de la montagne (El Anceur), quelques petites cascades, une retenue collinaire et une foule d’équipements d’accompagnement dont les tunnels à eau, les moulins à eau et les citernes d’époque. Le ministre, qui a pris connaissance du projet sur place, a exhorté le mouvement associatif inspirateur à le concrétiser en les assurant de l’appui total du ministère, visiblement gagné à l’idée de faire du thème de l’eau, un thème d’accroche touristique. «Le tourisme, ce n’est pas seulement la bande balnéaire, mais c’est aussi tout l’arrière-pays et ses montagnes qui recèlent un énorme potentiel», a affirmé M. Benmeradi en guise d’encouragement, affirmant que ce projet qui peut faire des émules, intervient en droite ligne de l’esprit recherché pour le développement du tourisme. A cet égard, le ministre a indiqué qu’un projet de même nature visant le développement des zones rurales, est entrevu en association avec le ministère de l’Agriculture et du développement rural, pour le développement de l’éco-tourisme, avec comme articulation majeure l’encouragement à la création de fermes équestres, par le biais des programmes de développement rural intégrés. Là aussi, l’exemple vient de Bejaia où un haras local, bien que réduit, donne le ton en développant des randonnées et des sorties éducatives, toutes articulées autour du cheval. Profitant de cette visite à Bejaia, le ministre en a profité pour inaugurer un nouvel hôtel de haut standing, construit au centre-ville, et passer en revue des structures en rapport avec l’artisanat. L’occasion a été également saisie pour examiner, avec les autorités locales, les modalités de mise en œuvre de quelques zones d’extension touristiques, notamment celles d’Aokas et Souk-el-Tenine.
« 130 projets gelés en raison de problèmes fonciers »
Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Mohamed Benmeradi, a affirmé que 130 projets touristiques étaient gelés en raison du défaut de plans d'aménagement de certaines zones d'expansions touristique (ZET). Le ministre a souligné la nécessité d'intensifier les efforts pour libérer les assiettes foncières au niveau des ZET, quelque 53.000 hectares à aménager au profit des promoteurs touristiques. Près de 130 projets sont actuellement gelés en raison de l'absence de plans d'aménagement de ces zones, a indiqué le ministre appelant à encourager les opérateurs du secteur à l'effet de concrétiser leurs projets et de les accompagner auprès des autorités locales, des administrations concernées et des banques. Le ministre a par ailleurs, exhorté les cadres du secteur à finaliser le classement des établissements hôteliers, au plus tard à la fin du semestre en cours. Il leur a donné des instructions à l'effet d'engager une étude approfondie des dossiers relatifs aux investissements et activités touristiques avant de les envoyer aux services centraux.
Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Mohamed Benmeradi, a affirmé que 130 projets touristiques étaient gelés en raison du défaut de plans d'aménagement de certaines zones d'expansions touristique (ZET). Le ministre a souligné la nécessité d'intensifier les efforts pour libérer les assiettes foncières au niveau des ZET, quelque 53.000 hectares à aménager au profit des promoteurs touristiques. Près de 130 projets sont actuellement gelés en raison de l'absence de plans d'aménagement de ces zones, a indiqué le ministre appelant à encourager les opérateurs du secteur à l'effet de concrétiser leurs projets et de les accompagner auprès des autorités locales, des administrations concernées et des banques. Le ministre a par ailleurs, exhorté les cadres du secteur à finaliser le classement des établissements hôteliers, au plus tard à la fin du semestre en cours. Il leur a donné des instructions à l'effet d'engager une étude approfondie des dossiers relatifs aux investissements et activités touristiques avant de les envoyer aux services centraux.
- Publié dans :
- Mohamed Benmeradi
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire