
TOURNER LA PAGE DES DIVISIONS HISTORIQUES DU MOUVEMENT NATIONAL
Par : Ali Agouni (*)
Dans cette contribution, Ali Agouni, un des derniers compagnons de lutte de Messali Hadj, revient à nouveau à la charge pour appeler à une réconciliation nationale qui tournerait aussi la page des divisions qui avaient surgi au moment du déclenchement de la Révolution, entre le FLN et le MNA.
À l'occasion de la célébration de la fête de l’Indépendance de l'Algérie, Ali Agouni, ancien compagnon de Messali Hadj et responsable du PPA, profite pour rendre un hommage à tous les martyrs. “En ce grand jour historique de l'Algérie, M. Ali Agouni présente ses vœux de bonheur, de prospérité, de paix, d'unité nationale, de fraternité au peuple algérien et à tous les moudjahidine qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour arracher l’Indépendance de l’Algérie et rend un vibrant hommage et s'incline devant les martyrs morts pour l’Algérie quelle que soit leur opinion politique”. Le compagnon d’armes de Messali Hadj lance un vibrant appel aux autorités algériennes et à tous les hommes sages, épris de paix, de justice et de bonté, de faire tout leur possible et œuvrer pour que la réconciliation nationale devienne une réalité entre tous les Algériens, afin de construire une Algérie basée sur une véritable démocratie, la justice pour tous, la paix, la fraternité, et l’écriture de la véritable Histoire de la Révolution algérienne.
Au passage, il souhaitera “un rapide rétablissement et guérison du président de la République, Abdelaziz Bouteflika”, pour sa politique de réconciliation nationale qu’il considère, comme un des marqueurs de son action pisolithique depuis son retour au pouvoir.
Ali Agouni remonte le temps pour évoquer des rencontres, des anecdotes entre de grandes figures du mouvement national : “Si j'étais professeur, et j'avais le peuple algérien comme élève, je lui ferai conjuguer le verbe organise-toi, organise-toi....un million de fois dans tous les sens et dans tous les temps”, rapporte t-il, mettant ainsi en relief le souci du père fondateur du mouvement national à organiser le peuple algérien pour être en capacité de se débarrasser du joug colonial.
En 1951, Messali Hadj, de retour du pèlerinage à La Mecque, arrive à Chantilly où il coordonne l'activité de la délégation du MLTD auprès de la délégation afro-asiatique durant la session de l'ONU de décembre 1951 à Paris. Là, Messali Hadj poursuit également la même activité qu'il a entreprise au Caire auprès du monde arabo-islamique.
Messali Hadj a reçu Ben Youcef Benkhada pour l'informer de ses contacts avec la ligue arabe avec l'émir Abdelkrim El Khatabi et Azzem Pacha sur la situation générale du peuple algérien, ses aspirations, et l'aide du monde arabo-islamique à la Révolution algérienne.
Messali Hadj tenait à le retenir pour examiner les problèmes qui touchent à la Révolution algérienne et l'aide de la Ligue arabe, se souvient encore Ali Agouni, qui rappelle aussi que Messali Hadj avait reçu Aït Ahmed Hocine avec Radjef Belkacem et de Rabah Fillali dans la forêt de Chantilly, avant son départ pour le Moyen-Orient.
Messali Hadj avait mis au courant Aït Ahmed de tous les contacts et décisions prises en Arabie Saoudite et au Caire et aussi de l'installation de Mohamed Khider à la tête de la délégation du PPA/MLTD au Caire avec Chadli Mekki. Ali Agouni évoque une autre rencontre qui a eu lieu le 18 janvier 1952.
Ce jour –là, Messali Hadj avait reçu tous les dirigeants du mouvement nord-africain présents à Paris pour examiner l'union intérieure et extérieure de l'Afrique du Nord. Ont participé a cette réunion du côté PPA/MTLD, Messali Hadj, Hocine Lahouel, Ahmed Mezrana. L’UDMA était représentée par Boumendjel et Benadjila.
Les Ulémas avaient comme délégués Cheik Kheïrreddine et Cheik Abbas. Mohamed Masmoudi, Habib Bourguiba étaient présents à cette rencontre au nom du parti tunisien, le Neo Destour, tandis que le Maroc était représenté par Bensouda, et Youssef Bensalem du parti Istiqlal. El-Miki Ennaciri, pour sa part représentait le Maroc Espagnol. C'est grâce à Messali Hadj que, pour la première fois tous les nationalistes maghrébins se sont réunis pour examiner la situation dans les trois pays, estime Ali Agouni. Une reoncontre à la suite de laquelle Messali Hadj rejoindra Alger le 10 février 1952 après cinq mois d'une activité intense, débordante et concluante en Arabie Saoudite, en Égypte et à Chantilly auprès des délégations de l'ONU. D'ailleurs, les facilités, les dispositions et l'accueil qu’avait pu avoir la délégation du PPA au Caire, après le passage de Messali Hadj, en témoignent.
Avant la tenue du Congrès d'Hornu (Belgique), Mezrana arriva le 8 juillet à Genève ( Suisse) en mission pour s'entretenir avec Khider et Ben Bella des événements en Tunisie et au Maroc et la volonté de Messali Hadj de poser le problème algérien dans le cadre du même combat pour la libération des trois pays d'Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc).
Le congrès PPA/MTLD organisé par Messali Hadj les 14,15,16 juillet 1954 s'est tenu dans une atmosphère révolutionnaire. La Révolution devait être déclenchée début janvier 1955, il y avait plus de 350 délégués venus de toutes les régions d'Algérie, de France et de Belgique. Un Conseil national révolutionnaire algérien (CNRA) s'est créé autour de Messali Hadj et qui tiendra sa première réunion le 15 août 1954 à Birkhadem ( Algérie). Au cours de cette réunion les tâches furent déterminées aux responsables.
Ahmed Mezrana et Abdellah Filali ont été chargé d'aller au Caire pour expliquer à Mohamed Khider, Ben Bella et Aït Ahmed les décisions prises au Congrès et préparer avec eux l'action diplomatique.
En 1953, Aït Ahmed, du Caire, écrit à Messali Hadj à l'occasion de son 55e anniversaire pour lui manifester ses sympathies et son attachement et lui souhaiter un retour en Algérie afin de prendre les leviers du commandement du parti et le remettre sur sa vraie voie révolutionnaire pour mener le combat libérateur. Messali Hadj laissa des traces très profondes.
Après la Toussaint rouge, le MTLD dénonça dans Alger Républicain la répression et les arrestations qu'il subit.
Le 8 novembre 1954, Messali Hadj, dans une dépêche à l'agence AFP, appelle à la lutte armée contre le régime colonial. À l'ONU, l'intervention d'Abed Bouhafa et Moulay Merbah a été déterminante pour inscrire la question algérienne à l'ordre du jour.
Les militants du PPA en Algérie sont totalement engagés dans l'ALN, aux Aurès où leur chef Benboulaid se réclamait encore de Messali Hadj. C'est cette ALN qui a fait l’insurrection du 20 août 1955. C'est pourquoi Messali Hadj, au nom du PPA, a demandé une Constituante élue au suffrage universel, un Parlement algérien, un Président élu au suffrage universel et la parole au peuple algérien. M. Ali Agouni rappelle un fait historique qui lui tient à cœur : “J' ai été militant du PPA/MLTD où, avec fierté et courage pour le programme du Parti et de Messali Hadj qui réclamait l'Indépendance totale de l'Algérie, je distribuais des tracts, j’écrivais sur les murs, les ponts, les routes : l'Algérie libre vaincra, Vive l’Indépendance de l’Algérie, libérez Messali Hadj, je vendais clandestinement le journal L’Algérie libre et j'étais alors convaincu que le PPA uni pouvait mener le peuple algérien à la révolution armée contre le colonialisme”. Ali Agouni se souvient encore : “À la fin de l'année 1955, sous les ordres de mon responsable Mouaci Hocine Benkadeur, que Dieu ait son âme au Paradis, j’étais envoyé avec un groupe de jeunes au maquis. Nous avions rencontré, la nuit de notre départ, le responsable du parti Rabah Ben Rabah, Abdelkader Benafala et d'autres. Nous étions sous les ordres de Si Rabah Tebessi, nous avions été aux djebels Bouzegza, Tablat, Sakamody et Hammam Melouane”. Puis, de poursuivre son témoignage : “Le mois de mars 1956, c'est là que j'ai appris la nouvelle foudroyante d’une division au sein de l'ALN. Qu'il y a deux tendances, une qui suit le MNA de Messali Hadj, et l'autre le FLN. La Révolution est divisée, et au douar Beni Misra où nous étions, nous recevons la visite de Abane Ramdane, Krim Belkacem, Ouamrane, le colonel Si Sadek. Abane Ramdane s'adresse à nous en nous disant qu'ils ne sont plus d'accord avec Messali Hadj”. À l’annonce de cette nouvelle, stupéfiante pour lui, Ali Agouni, alors âgé de 17 ans, interroge à nouveau le leader de la Révolution : “Pourquoi cette division ? Nous avions un seul ennemi : le colonialisme, nous avions un seul but : arracher l’Indépendance de l’Algérie. Pourquoi ne pas s'unir et combattre tous ensemble unis et quand on arrache l’Indépendance on donne la parole au peuple algérien pour choisir ses représentants car la division de la Révolution est néfaste”. “C’est pour cela que j'appelle au plus profond de mon cœur pour une réconciliation nationale, une véritable justice, une véritable démocratie”. Enfin, le compagnon de Messali Hadj, a profité de la célébration du 51e anniversaire de la Révolution pour réclamer “L’agrément du PPA et la reconnaissance de tous les valeureux moudjahidine tombés au champ d'honneur contre le colonialisme et de tous les militants qui ont suivi le père du Nationalisme algérien, Messali Hadj”.
À l'occasion de la célébration de la fête de l’Indépendance de l'Algérie, Ali Agouni, ancien compagnon de Messali Hadj et responsable du PPA, profite pour rendre un hommage à tous les martyrs. “En ce grand jour historique de l'Algérie, M. Ali Agouni présente ses vœux de bonheur, de prospérité, de paix, d'unité nationale, de fraternité au peuple algérien et à tous les moudjahidine qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour arracher l’Indépendance de l’Algérie et rend un vibrant hommage et s'incline devant les martyrs morts pour l’Algérie quelle que soit leur opinion politique”. Le compagnon d’armes de Messali Hadj lance un vibrant appel aux autorités algériennes et à tous les hommes sages, épris de paix, de justice et de bonté, de faire tout leur possible et œuvrer pour que la réconciliation nationale devienne une réalité entre tous les Algériens, afin de construire une Algérie basée sur une véritable démocratie, la justice pour tous, la paix, la fraternité, et l’écriture de la véritable Histoire de la Révolution algérienne.
Au passage, il souhaitera “un rapide rétablissement et guérison du président de la République, Abdelaziz Bouteflika”, pour sa politique de réconciliation nationale qu’il considère, comme un des marqueurs de son action pisolithique depuis son retour au pouvoir.
Ali Agouni remonte le temps pour évoquer des rencontres, des anecdotes entre de grandes figures du mouvement national : “Si j'étais professeur, et j'avais le peuple algérien comme élève, je lui ferai conjuguer le verbe organise-toi, organise-toi....un million de fois dans tous les sens et dans tous les temps”, rapporte t-il, mettant ainsi en relief le souci du père fondateur du mouvement national à organiser le peuple algérien pour être en capacité de se débarrasser du joug colonial.
En 1951, Messali Hadj, de retour du pèlerinage à La Mecque, arrive à Chantilly où il coordonne l'activité de la délégation du MLTD auprès de la délégation afro-asiatique durant la session de l'ONU de décembre 1951 à Paris. Là, Messali Hadj poursuit également la même activité qu'il a entreprise au Caire auprès du monde arabo-islamique.
Messali Hadj a reçu Ben Youcef Benkhada pour l'informer de ses contacts avec la ligue arabe avec l'émir Abdelkrim El Khatabi et Azzem Pacha sur la situation générale du peuple algérien, ses aspirations, et l'aide du monde arabo-islamique à la Révolution algérienne.
Messali Hadj tenait à le retenir pour examiner les problèmes qui touchent à la Révolution algérienne et l'aide de la Ligue arabe, se souvient encore Ali Agouni, qui rappelle aussi que Messali Hadj avait reçu Aït Ahmed Hocine avec Radjef Belkacem et de Rabah Fillali dans la forêt de Chantilly, avant son départ pour le Moyen-Orient.
Messali Hadj avait mis au courant Aït Ahmed de tous les contacts et décisions prises en Arabie Saoudite et au Caire et aussi de l'installation de Mohamed Khider à la tête de la délégation du PPA/MLTD au Caire avec Chadli Mekki. Ali Agouni évoque une autre rencontre qui a eu lieu le 18 janvier 1952.
Ce jour –là, Messali Hadj avait reçu tous les dirigeants du mouvement nord-africain présents à Paris pour examiner l'union intérieure et extérieure de l'Afrique du Nord. Ont participé a cette réunion du côté PPA/MTLD, Messali Hadj, Hocine Lahouel, Ahmed Mezrana. L’UDMA était représentée par Boumendjel et Benadjila.
Les Ulémas avaient comme délégués Cheik Kheïrreddine et Cheik Abbas. Mohamed Masmoudi, Habib Bourguiba étaient présents à cette rencontre au nom du parti tunisien, le Neo Destour, tandis que le Maroc était représenté par Bensouda, et Youssef Bensalem du parti Istiqlal. El-Miki Ennaciri, pour sa part représentait le Maroc Espagnol. C'est grâce à Messali Hadj que, pour la première fois tous les nationalistes maghrébins se sont réunis pour examiner la situation dans les trois pays, estime Ali Agouni. Une reoncontre à la suite de laquelle Messali Hadj rejoindra Alger le 10 février 1952 après cinq mois d'une activité intense, débordante et concluante en Arabie Saoudite, en Égypte et à Chantilly auprès des délégations de l'ONU. D'ailleurs, les facilités, les dispositions et l'accueil qu’avait pu avoir la délégation du PPA au Caire, après le passage de Messali Hadj, en témoignent.
Avant la tenue du Congrès d'Hornu (Belgique), Mezrana arriva le 8 juillet à Genève ( Suisse) en mission pour s'entretenir avec Khider et Ben Bella des événements en Tunisie et au Maroc et la volonté de Messali Hadj de poser le problème algérien dans le cadre du même combat pour la libération des trois pays d'Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc).
Le congrès PPA/MTLD organisé par Messali Hadj les 14,15,16 juillet 1954 s'est tenu dans une atmosphère révolutionnaire. La Révolution devait être déclenchée début janvier 1955, il y avait plus de 350 délégués venus de toutes les régions d'Algérie, de France et de Belgique. Un Conseil national révolutionnaire algérien (CNRA) s'est créé autour de Messali Hadj et qui tiendra sa première réunion le 15 août 1954 à Birkhadem ( Algérie). Au cours de cette réunion les tâches furent déterminées aux responsables.
Ahmed Mezrana et Abdellah Filali ont été chargé d'aller au Caire pour expliquer à Mohamed Khider, Ben Bella et Aït Ahmed les décisions prises au Congrès et préparer avec eux l'action diplomatique.
En 1953, Aït Ahmed, du Caire, écrit à Messali Hadj à l'occasion de son 55e anniversaire pour lui manifester ses sympathies et son attachement et lui souhaiter un retour en Algérie afin de prendre les leviers du commandement du parti et le remettre sur sa vraie voie révolutionnaire pour mener le combat libérateur. Messali Hadj laissa des traces très profondes.
Après la Toussaint rouge, le MTLD dénonça dans Alger Républicain la répression et les arrestations qu'il subit.
Le 8 novembre 1954, Messali Hadj, dans une dépêche à l'agence AFP, appelle à la lutte armée contre le régime colonial. À l'ONU, l'intervention d'Abed Bouhafa et Moulay Merbah a été déterminante pour inscrire la question algérienne à l'ordre du jour.
Les militants du PPA en Algérie sont totalement engagés dans l'ALN, aux Aurès où leur chef Benboulaid se réclamait encore de Messali Hadj. C'est cette ALN qui a fait l’insurrection du 20 août 1955. C'est pourquoi Messali Hadj, au nom du PPA, a demandé une Constituante élue au suffrage universel, un Parlement algérien, un Président élu au suffrage universel et la parole au peuple algérien. M. Ali Agouni rappelle un fait historique qui lui tient à cœur : “J' ai été militant du PPA/MLTD où, avec fierté et courage pour le programme du Parti et de Messali Hadj qui réclamait l'Indépendance totale de l'Algérie, je distribuais des tracts, j’écrivais sur les murs, les ponts, les routes : l'Algérie libre vaincra, Vive l’Indépendance de l’Algérie, libérez Messali Hadj, je vendais clandestinement le journal L’Algérie libre et j'étais alors convaincu que le PPA uni pouvait mener le peuple algérien à la révolution armée contre le colonialisme”. Ali Agouni se souvient encore : “À la fin de l'année 1955, sous les ordres de mon responsable Mouaci Hocine Benkadeur, que Dieu ait son âme au Paradis, j’étais envoyé avec un groupe de jeunes au maquis. Nous avions rencontré, la nuit de notre départ, le responsable du parti Rabah Ben Rabah, Abdelkader Benafala et d'autres. Nous étions sous les ordres de Si Rabah Tebessi, nous avions été aux djebels Bouzegza, Tablat, Sakamody et Hammam Melouane”. Puis, de poursuivre son témoignage : “Le mois de mars 1956, c'est là que j'ai appris la nouvelle foudroyante d’une division au sein de l'ALN. Qu'il y a deux tendances, une qui suit le MNA de Messali Hadj, et l'autre le FLN. La Révolution est divisée, et au douar Beni Misra où nous étions, nous recevons la visite de Abane Ramdane, Krim Belkacem, Ouamrane, le colonel Si Sadek. Abane Ramdane s'adresse à nous en nous disant qu'ils ne sont plus d'accord avec Messali Hadj”. À l’annonce de cette nouvelle, stupéfiante pour lui, Ali Agouni, alors âgé de 17 ans, interroge à nouveau le leader de la Révolution : “Pourquoi cette division ? Nous avions un seul ennemi : le colonialisme, nous avions un seul but : arracher l’Indépendance de l’Algérie. Pourquoi ne pas s'unir et combattre tous ensemble unis et quand on arrache l’Indépendance on donne la parole au peuple algérien pour choisir ses représentants car la division de la Révolution est néfaste”. “C’est pour cela que j'appelle au plus profond de mon cœur pour une réconciliation nationale, une véritable justice, une véritable démocratie”. Enfin, le compagnon de Messali Hadj, a profité de la célébration du 51e anniversaire de la Révolution pour réclamer “L’agrément du PPA et la reconnaissance de tous les valeureux moudjahidine tombés au champ d'honneur contre le colonialisme et de tous les militants qui ont suivi le père du Nationalisme algérien, Messali Hadj”.
A. A
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